La mère voit son fils jeter des pierres à la police et elle lui donne une leçon qu'il n'oubliera pas de sitôt

Manifester est un droit. Cela permet d'exprimer son opinion et d'ouvrir un débat à plus grande échelle. Mais quand la violence entre en scène, le résultat n'est souvent pas du tout celui escompté. Cette mère n'a pas hésité un instant lorsqu'elle a vu son propre fils impliqué dans des émeutes.

La façon dont nous voyons la parentalité est en constante évolution. Certaines punitions qui étaient considérées aujourd'hui comme justifiables sur le plan pédagogique sont désormais jugées comme inacceptables. Les enseignants ne donnent plus de coups de règle sur les doigts et les fessées sont rejettées par de nombreux parents.

L'éducation commence à la maison, dit-on. Bien sûr, cela dépend des parents. Certains sont stricts, tandis que d'autres optent pour une éducation très libre. Cette vidéo de 2015 montre une maman qui semble plutôt "à l'ancienne". 

La scène s'est déroulée au centre de manifestations dans la ville de Baltimore, aux États-Unis. Le mouvement s'est rapidement intensifié et les 'manifestants' ont commencé à jeter des pierres sur la police, rapporte le Daily Mail. La plupart portaient des masques pour cacher leur identité.

Cependant, cette mère n'a pas été dupe. À la télé, elle a reconnu l'un des émeutiers : c'était son fils.

La vidéo montre comment la femme furieuse a réussi à le retrouver et à le confronter. Elle enlève son masque et montre clairement son mécontentement. Quelques secondes plus tard, son fils s'enfuit. Le commissaire de police de Baltimore, Anthony Batts, a évoqué l'incident lors d'une conférence de presse.

"Lors d'un incident, une mère a attrapé un enfant portant un masque et elle a commencé à le frapper parce qu'elle avait tellement honte. J'aimerais qu'il y ait plus de parents qui tiennent leurs enfants ce soir", a-t-il déclaré, selon le Daily Mail.

Certains pensent que la mère a été trop violente envers son fils, tandis que d'autres pensent qu'elle avait tout à fait raison. Qu'est-ce que vous en pensez ?